Steve Simon, président de la WTA, pense que Peng Shuai, portée disparue, n’a pas écrit le mail censé être rassurant qui a été dévoilé par un média d’État chinois. Le patron du tennis féminin réclame une preuve indépendante de la bonne santé et de la liberté de la joueuse, qui a accusé un ancien haut responsable politique d’agression sexuelle.