Selon les révélations des Pandora Papers, Guy Forget aurait bénéficié durant plusieurs années d’une société offshore basée aux Îles Vierges britanniques, un paradis fiscal des Caraïbes. Le patron de Roland-Garros assure ne pas être à l’origine de cette structure opaque, qui affichait un actif global d’1,4 million d’euros lors de sa dissolution en 2016.